Loi de Sécurité Globale et les manifestations
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Loi de Sécurité Globale et les manifestations

Francisco Palomino | 6 dic 2020


Le mardi 17 novembre à Paris, les gens se sont réunis pour faire des manifestations contre la violence policière et la possibilité d'implémenter la loi de sécurité globale. Cette loi interdit l´usage d´images contre les flics dans les jugés et en conséquence, elle empêche de les filmer durant les manifestations.

Le députés du parti politique “La république en marche”, veut promouvoir la “sécurité globale” qu’implique l’article 24. Cet article est celui qu’on a mentionné sur l’utilisation d’images, et les motifs sont les pétitions du syndicat Alliance Police Nationale pour protéger l’identité de ces travailleurs. Ils argumentent que beaucoup d’agents sont harcelés dans les réseaux sociaux et postérieurement à leur vie quotidienne. En réponse à ce désir du gouvernement Français, beaucoup de personnes ont manifesté son désaccord dans les rues, surtout les jeunes. 

Dans cette situation, il y a deux positions. On a ceux qui montrent une certaine approche avec l'État, par exemple le ministre de l'intérieur, Gérald Darmanin. Il a dénoncé les comportements violents des gens contre les agents policiers pendant les manifestations et les dommages aux magasins.

Tandis que, depuis d’une perspective contre l'article 24, les manifestants soutiennent que c’est une loi liberticide parce qu’elle donne du courage aux forces d’ordre de continuer, selon eux, des attitudes qui dépassent les mesures appropriées de force qu’il doivent employer. Pendant ces jours on a pu voir comment des différentes régions ont eu des protests.

A Rennes il y avait aussi des manifestations. Les gens disent que les citoyens doivent avoir des instruments pour faire contre au pouvoir du gouvernement et de quelque façon, égaliser le balance respectivement. À Bordeaux et Lyon nos caméras ont capté de 800 a 1300 personnes parmi on a vu des gilets jaunes. Ils ont présenté de nombreuses plaintes de cas de violence policier et en plus Pierre-Antoine Cazau, de la Ligue des Droits de l´Homme mentionne «Quand la police tient le stylo de la loi, l'État porte le nom d'État policier».

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